Bestiaire Lossian Faune et Flore

Je propose de mettre ici vos bestioles et autre plantes bizarres.

Les « Centipèdes » ou traqueurs des montagnes :

(Tiré du scénar « Vermine Lossiane » dans la section Vos aventures de Loss > Aventures Lossianes avec alex444


Echelle taille humaine, les spécimens les plus grands peuvent toutefois atteindre jusqu’à 4m de long et avoir des stats exceptionnelles et des niveaux de santé et d’armure mais restent relativement faibles!

Lorsqu’ils dépassent 3m, au dégel, ils meurent en se dissolvant littéralement de l’intérieur et laissent des centaines d’œufs qui, s’ils survivent, deviendront rapidement des petits spécimens. Aspect : On dirait un centipède terrestre (de ce type https://lemagdesanimaux.ouest-france.fr/images/dossiers/2020-11/centipede-071352.jpg ) sauf que les pattes sont plus repliées sous elles ce qui les porte à environ 1m de haut. Elles peuvent se dresser sur l’arrière du corps et lorsqu’elles attaquent de petites cibles comme des humains elles ont tendance à l’enrouler de leurs pattes, puis à dissoudre la cible (et son armure !) avec leur puissant acide gastrique qui coule par leurs pattes et par une « gueule ». C’est en fait un mode de digestion externe, la créature suçant ensuite les restes dissous de sa proie directement par ce qui lui sert de « gueule » et qui est en fait l’entrée directe de son intestin.

En combat, lorsque l’on est touché, il faut parfois réussir un jet d’évasion (DD15) en lieu et place d’un jet d’esquive ou de parade. On peut aussi frapper avec une arme courte (DD10) ou tenter de les disloquer à mains nues (DD15, elles sont vraiment fragiles !) auquel cas la créature n’esquive pas.

Une meute nombreuse peut tuer et dissoudre un longila en quelques minutes seulement.

Mode social : ces créatures vivent, se déplacent et agissent en meute. Elles ont un esprit de meute rendu possible par leur mode de communication. En meute et suffisamment nombreuses elles sont rusées et font preuve de vraies tactiques d’attaques, bien que peu subtiles, leur mode de combat étant de submerger les adversaires sous le nombre.

Elles peuvent être mises en fuite tant que la meute compte encore plusieurs individus, mais isolées elles perdent cet esprit de survie de meute et peuvent se battre jusqu’au bout.

Jouer la meute comme une entité unique et raisonnablement rusée!

Petits spécimens SBIRES - 1 à 2m de long, de couleur brune, un peu translucide (jour) les entrailles sont bioluminescentes (nuit)

H2 C4 S2 (S4 pour toute action de ruse/tactique de meute)

Santé 10, Armure 0

Init +5

Compétences : Athlétisme 6, Escalade 12, Corps à corps 6 (Dégâts d’acide par la gueule et par les pattes 1D10. L’armure compte mais perd 1 point par attaque d’acide), Esquive 6 (au corps à corps uniquement, ils n’esquivent pas lorsqu’ils chargent)

Vigilance 2 (très mauvaise vue) mais 8 (vibrations et odorat) ou 10 (vigilance de meute)

« Langage » de claquements secs et frottements stridents

SPECIAL : attaque de glissade possible en pente sur la neige, la glace ou la boue ou la roche nue… la créature relève les pattes autour d’elle et se laisse glisser sur le ventre, les pattes pouvant aider à propulser. Permet un assaut avec 1 augmentation gratuite (+5)

Les nuages de spores jaunes (Innofensifs)

Extraits des CR de scénars évoquants ces nuages de spores:

les personnages sont témoins d’un très beau nuage de spores jaunes inoffensifs qui recouvrent toute la région. Absolument tout prend une teinte jaune, les sommets des arbres, les prairies, les hommes, les bêtes… c’est un océan de jaune! Sous la canopée des arbres gigantesques, ce sont des nuages qui flottent et forment des arabesques au gré du vent. Il n’est pas simple de garder son cap et de trouver son chemin dans ce décor uniforme qui gomme les détails et le relief!
— […] —
La caravane sort enfin de la canopée et se retrouve sur de grandes prairies d’altitude, toutes jaunes, et le vent dans les hautes herbes semble faire frissonner la montagne à perte de vue… comme une mer en mouvement. C’est magnifique! — […] notre pisteur Svlatnaz, perché sur le cou du longila, repère alors des mouvements imperceptibles dans cet océan de jaune et devine des créatures qui ressemblent fort à ce qu’ils appelaient des traqueurs des neiges dans ses montagnes natales… […] Les traqueurs sont eux mêmes recouverts des spores et sont difficilement repérables à l’œil nu mais leurs mouvements gracieux forment comme des ondes à la surface de la prairie!